C’était vrai, ça ne l’est plus : les entreprises peuvent dorénavant s’appuyer sur des solutions qui « marchent » et qu’elles peuvent s’approprier sans bouleverser leurs habitudes. L’enjeu est de taille : le blended learning est maintenant partout, sous des formes variées composant stage et autoformation nourrie de modules e-learning et autres ressources variées. Son architecture la plus répandue - on démarre par du e-learning et on poursuit en groupe - a perdu de son attrait. L’heure est la multiplication des formats : e-reading, classes virtuelles, coaching en situation de travail, serious games, nano-training… pour servir un apprenant toujours plus impatient, attendant de l’offre de formation de son entreprise des ergonomies identiques à celles d'un Web devenu omniprésent. Multiplication des modalités de formation, diversité des parcours agençant ces modalités : le 100% distanciel, mêlant consommations de formation synchrones et asynchrones, a le vent en poupe… C’est aussi du blended learning.
Mais le principal se joue ailleurs, à la marge des dispositifs de formation structurée : l’enjeu majeur, c’est celui de l’extension du domaine de la formation aux apprentissages informels et sociaux… Ce qu’on pourrait appeler des « apprentissages 2.0 » dans la mesure où ils mettent le salarié-apprenant en situation « d’agir sa formation » : décider d’utiliser certaines ressources à sa disposition, refuser d’être gavé de connaissances dont il n’a pas besoin, donner son avis, contribuer, partager…
Des apprentissages 2.0 qui seront supportés par… du blended learning 2.0, dont les contours commencent à se dessiner. C’est ce dessin qui sera présenté par Michel Diaz (Directeur associé, Féfaur), Jean Chaillet (Directeur général, CSP Formation) et Yann Coirault (Responsable de l’innovation, CSP Formation), dans la matinale du 21 janvier 2014… Avec une table ronde de grands clients qui ont mis en oeuvre le dispositif Rich Learning® du 3ème organisme de formation français.
Il sera question des limites rencontrées par les dispositifs blended learning linéaires, des bénéfices du blended learning intégrant les nouveaux modes d’apprentissage ; Jean Chaillet traitera aussi des ruptures en cours et de la vision de CSP Formation pour aider les départements formation à construire les réponses qui sont attendues des métiers et des apprenants, car il fait l’admettre : offreurs de formation internes et externes sont dans le même bâteau… La qualité de leur partenariat conditionne beaucoup l’avenir de la formation dans les entreprises.
Le Livre Blanc "Le Blended Learning… Pas n'importe comment !" sera remis aux participants.
Pour en savoir plus et s’inscrire : Le Blended Learning… pas n’importe comment !
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