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10 jours calendaires 100% à distance pour faire le plein de vitamines e-learning, et se certifier de surcroît… Pourquoi se priver ? |
2 certifications e-learning, premier et deuxième niveau, chacune pouvant être préparée par une session de formation distancielle s'étendant sur un calendrier de 10 jours. Le premier niveau permettra de valider un bouquet de savoirs déjà conséquents. La part belle est faite avec le e-learning sur mesure ; logique : principal poste de la dépense e-learning des entreprises, le "sur mesure" peut et doit être conçu, produit, géré de façon aussi professionnelle que possible.
Au programme : description des étapes d'un projet, acteurs - des éléments d'organisation qui ne sauraient nuire, alors que le défaut de gouvernance demeure l'un des principaux motifs d'échec des projets e-learning… Un chef de projet averti en valant deux, il sera aussi question des aspects juridiques du e-learning et des risques informatiques… Lesquels ont diminué avec la montée en puissance de solutions logicielles de type SaaS, parfaitement industrialisées, et offrant aux entreprises des possibilités étendues de paramétrage sans avoir à en passer par des développement spécifiques plus risqués. Blended learning et promotion interne du e-learning sont aussi au programme de cette certification premier niveau, qui fait donc déjà un bon tour des problématiques et solutions e-learning. Autre caractéristique d'un parcours 100% distanciel : 2 classes virtuelles de 30' y sont incluses, à mi chemin et à la fin de la session pour répondre aux questions et valider la certification.
Le deuxième niveau traite des extensions apparues ces dernières années - le mobile learning et les dispositifs Web 2.0 notamment - et approfondit les questions de la qualité e-learning (but : viser un taux de participation aussi élevé que possible) et de l'évaluation des résultats, en effet devenue centrale.
Le principe des classes virtuelles est là aussi appliqué… On entendra parler en outre de la "dynamisation des animations présentielles", sans doute en introduction à la nouvelle certification proposée par l'institut : "Présentiel 1er niveau"… Pour ne pas oublier qu'il y a encore loin du présentiel largement majoritaire au tout e-learning !
On l'aura compris : l'intérêt pour les participants, c'est aussi d'obtenir une certification. Et pourquoi le e-learning n'emprunterait-il pas ce chemin, quand il sert si souvent à certifier les savoirs acquis par les salariés et les étudiants dans les domaines de formation les plus divers. La certification proposée par l'ISTF n'a certes pas la puissance que pourraient avoir celle de Microsoft ou de Cisco par exemple dans le monde informatique… Affaire de moyens… Tout le mal qu'on lui souhaite c'est de faire des émules et de déboucher sur un modèle international collaboratif à l'instar de la certification PCIE.
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